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La musique et les chansons

La musique d’Éric Pelletier jouée sur des instruments nés de bricoles et de matériaux de la quincaillerie, va dans le sens d'une parole qui fait rêver ou grincer des dents, à la fois tendre et acérée. Elle sera à l'image des doutes et des espoirs des petites mécaniques de l'esprit humain : tressautante tout autant que poétique.

Les chansons, moment de respiration dans le spectacle, sont accompagnées de la guitare de Didier Dubreuil et des percussions d’Eric Pelletier.
Certaines contribuent au récit, d'autres sont attachées à un personnage, d'autres encore évoquent la mécanique des secrets...

 

 

 

 

Les personnages

Tous les habitants de Ponts sur Mer sont présents dans le récit.

L’incarnation des personnages est suggérée, amorcée dans le récit même ; il s’agit d’évoquer la forme d’un corps, sa voix, ses rythmes, plus que de “jouer” ; un mouvement, et le personnage est convoqué rapidement et simplement.

Un seul personnage déroge à la règle, celui d’Annie, la fille d’Antoine, car elle est “différente”. Le petit grain dans sa tête lui donne une plus grande liberté de langage et d’apparition sur l’espace scénique.

Elle donne à entendre, dits à sa façon, les secrets de Ponts-sur-Mer et ceux collectés auprès des personnes que l’équipe rencontrera au fil des résidences et des représentations.

Les Histoires

La scène et La Narration

Les personnages

La Musique

 

Un concert....

Deux tabourets, deux micros sur pied, deux pupitres pour les narrateurs Anne Marcel et Didier Dubreuil, un fatras bricomusical pour le percussionniste Eric Pelletier,

un décor épuré pour un texte touffu...

 

Deux voix pour la narration, Didier Dubreuil, Anne Marcel.

Plan large, plan subjectif, flashback, arrêt sur image...
La parole du raconteur, comme une caméra, est omnipotente et omnisciente, elle passe de personnage en personnage, de lieu en lieu, variant les points de vue ; elle s’immisce dans les pensées.

Tendres... cyniques...cocasses... absurdes...

Comme nos petites humanités.

Dans la quincaille un éventail de personnages qui croisent :

La cruauté de la vie...
La poésie du quotidien...

Leurs rêves inassouvis... De l’amour...
Et de l’antirouille...

Une langue poétique, rythmée et décalée, évoquant l’univers graphique de Jean- Pierre Jeunet... dont les histoires seraient teintées de Magasin général de Loisel et Tripp...avec un rythme cinématographique digne d’un film d’animation dont les spectateurs fabriquent eux-mêmes les images ...

Trois récits s’entremêlent :
Le récit des habitants de Ponts sur Mer qui attendent l’arrivée du notaire pour connaître le sort de leurs secrets, entrecoupé par la découverte des boîtes à confidences de la Quincaille
Le récit de Sam, le gardien de phare qui veut réaliser son rêve.
Le récit d’Annie, qui parle à sa poupée.

 

 

 

 

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